PaRickshaw !
Qu'à cela ne tienne, ce weekend, j'ai choisi de le sortir dans les rues de la capitale. Diane et Quentin m'accompagnent pour la balade.
Excités à l'idée de flâner dans le tricycle tricolore, je les préviens quand même de la difficulté de la chose : "il faudra pousser pour le démarrer (Oui, le kick a lâché..), puis ce sera inch Allah toute la journée..." "Pas de souci Clem, on est chaud!" me dit Quentin.
Excités à l'idée de flâner dans le tricycle tricolore, je les préviens quand même de la difficulté de la chose : "il faudra pousser pour le démarrer (Oui, le kick a lâché..), puis ce sera inch Allah toute la journée..." "Pas de souci Clem, on est chaud!" me dit Quentin.
Arrivés dans le garage, nous poussons avec acharnement l'engin. Rien n'y fait, le moteur ne démarre pas. C'est au 5ème essai, la chemise trempée, que je comprends qu'un court-circuit empêche la bougie de faire son travail.
A 14h le moteur tourne, nous quittons Barbès direction l'arc de Triomphe. Sur la route, nous sommes tombés en panne une dizaine de fois avant que je localise la cause de cette panne récurrente. A chaque fois, Diane et Quentin sont sortis pour pousser le rickshaw !
Nous avons ensuite fait un tour au Trocadéro pour prendre une photo devant la tour Eiffel, symbole suprême de la venue du rickshaw à Paris. Je prévois d'ailleurs d'envoyer le cliché à Ravi, l'ancien propriétaire qui ne reconnaitra pas son véhicule.
A 18H, après 3 heures à vagabonder dans les rues Parisiennes, je dois dire que nous avons eu de la Chance. Le moteur a très bien fonctionné. La circulation de Paris m'a épuisé mais nous avons croisé de nombreux marchands indiens atterrés par la vue d'un Bajaj dans les rues de Paris. Ces rencontres m'ont permis de renouer avec l'Hindi :
- "Tu rickshaw borot atchaat Hai" (Nice Rickshaw !)
- "Sucria Bysap" (Thank you sir)
Nous avons ensuite fait un tour au Trocadéro pour prendre une photo devant la tour Eiffel, symbole suprême de la venue du rickshaw à Paris. Je prévois d'ailleurs d'envoyer le cliché à Ravi, l'ancien propriétaire qui ne reconnaitra pas son véhicule.
A 18H, après 3 heures à vagabonder dans les rues Parisiennes, je dois dire que nous avons eu de la Chance. Le moteur a très bien fonctionné. La circulation de Paris m'a épuisé mais nous avons croisé de nombreux marchands indiens atterrés par la vue d'un Bajaj dans les rues de Paris. Ces rencontres m'ont permis de renouer avec l'Hindi :
- "Tu rickshaw borot atchaat Hai" (Nice Rickshaw !)
- "Sucria Bysap" (Thank you sir)
Commentaires
Les Indiens ont dû être très étonnés!
Plein de bisouxxxxx d'ATL
Si vous acceptez de le prêter et qu'il marche le 24 juillet, je suis toujours intéressée bien sur! Laetitia